samedi 28 mars 2015

Vénissieux, tiramisu & panna cotta


C'était super! Nous avons fait la clôture de ce chouette festival Benvenuta L'Italia ! Merci au public chaleureux et à toute l'équipe, nous sommes repartis heureux avec chacun un dessert maison pour le retour en camion...mmmmmm!

Pour aller plus loin, voici une interview qu'on pouvait lire sur le programme de la soirée : 3 questions à François Castiello
Pourquoi avoir interpellé le groupe No Mad? pour vous accompagner sur ce projet ?

J'avais ce projet en tête depuis un bon moment, mais je ne voulais pas "monter" un groupe en prenant des musiciens qui ne se connaissent pas et qui n'ont jamais joué ensemble. En effet, pour un groupe le lien entre les musiciens est primordial. Les musiciens de No Mad? jouent ensemble depuis plus de 10 ans. Ils se sont rencontrés autour de leurs vingt ans... La musique se nourrit aussi d'histoires d'amitiés. J'ai passé du temps avec eux et j'ai senti que malgré notre différence d'âge, quelque chose était possible. Ce qui m’a intéressé aussi, c’est le fait qu’ils connaissaient très peu cette musique : du coup complètement ouverts à mon Naples fantasmé. 
Votre parcours est marqué par la musique des balkans de Bratsch. Pourquoi aborder la musique napolitaine aujourd'hui ? 
Naples, c'est mes origines. J'ai à Naples une grande famille. J'ai envie de me rapprocher des racines. J'ai parfois, avec Bratsch, chanté des chansons napolitaines, juste pour donner une "couleur". Avec Lalala Napoli j'ai eu envie d'aller un peu plus loin. 
Les morceaux de Lalala Napoli sont-ils uniquement des reprises revisitées ou y-a-t-il des morceaux créés pour l'occasion ? 
Plus de la moitié du répertoire sont des compositions créées spécialement pour Lalala Napoli. N’ayant vécu que très peu à Naples, avec les années j’ai fantasmé un Naples très personnel, qui n’existe que dans ma musique. J’ai donc écris des chansons et composer des tarentelles. Avec Lalala Napoli nous nous sommes intéressés au coté « Transe » de la tarentelle en accentuant la face répétitive de cette danse, qui peux se danser jusqu’à l’épuisement.
 

Aucun commentaire: